Pour retourner le dos,
courbe d'espoir drapé
et expirer des mots
déchiré puis saupoudré
d'éclats de fard noir;
Prendre les mains
et peindre les yeux
de courage et de flammes,
sans aller, s'en aller
vers le troisième refrain,
sceller d'un baiser
la mélodie du matin.
Se retourner et laisser couler
l'eau chaude sur les pieds
et courber le corps
aspiré puis sublimé
d'éclats de toi;
Puis regarder respirer
les corps immergés
Et laisser s'égarer
les rêves des jeunes filles fatiguées.
Où sur la montagne, loin du rivage
Elles dansent et trouvent un repos sage.
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